coucher de soleil plage de l'ermitage

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mercredi 30 novembre 2011

Pêche au gros ... ou au très gros

 Bonjour a tous,

Dimanche 27 novembre nous voilà parti à la pêche au gros. Départ 7h00 du matin au port, pour info à cette heure là il fait déjà 27° .
après un tartinage en règle de crème solaire indice 50 nous voilà a bord.
Vers 8h00 première prise ! Honneur aux femme c'est Fafa qui si colle. La vache c'est costaud ce qu'il y a au bout de la ligne!! et finalement me voici avec un thon banane ( non c'est pas un thon de la couleur de la banane) ça ressemble à un barracuda la bête fait quand même 5 à 7 Kg. On a pas pris la peine de le peser.





Ensuite l'autre client qui était avec nous sur le bateau a pêcher une dorade coryphène. Jolie poiscaille en plus ça a des jolies couleurs et c'est super bon ça.

 
Et enfin Mister Cyril aux manettes
avant je vais vous parler de la chaise de combat ou plutôt de torture. Sur un engin pareil il ne faut pas trop en dire je vous laisse apprécier la photo.
 
Donc voilà le père Cyril qui commence à ferrer un Marlin. Voici les premières images du combat qui a durer 2H20 environ. Cyril a lutter pendant 30 minute et croyez moi , il en a chier (il a encore des courbatures 2 jours après) je l'ai rarement vu comme ça. Il faut dire que le mec qui organisait la pêche lui a dit que c'était le poisson le plus combatif au monde (à ce moment là je vous raconte pas la tête de Cyril)


Bref après 30 minutes il a passer le manche aux autres on a quand même eut besoin de 4 bonhommes pour sortir un poisson de l'eau. Moi j'ai pas les muscles pour mouliner avec un truc pareil au bout du fil alors j'ai servie de porte canne :{ et de photographe officiel , mon premier reportage photo!  ;)

Enfin la bête est a bord – c'est hyper impressionnant de pêcher un poisson plus gros et plus lourd que soi. A côté les maquereaux du golf du Morbihan sont ridicules.

Et là le truc que tous les mec ont rêver de faire : poser en héros a côté de son trophée!
Le poisson fait environ 3M de long et pèse environ 290kg.
C'est l'attraction du port . Il a fallu 8 hommes pour soulever le poisson du ponton et le mettre près de la balance.
Le poisson est en suite vendu à une poissonnerie, c'est comme ça que l'école de pêche est rentable.
Le marlin est vendu pour 4€ du kilo.





3 commentaires:

  1. magnifique et très impressionnant, bravo Cyril! Fanny bravo pour les photos tu tiens ton rôle de photographe et de commentatrice à merveille. Et non il ne fait pas si froid ici, 14°c cet après midi!!!
    gros bisous Alix and co

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  2. C'est génial... Félicitation Cyril!!! j'ai toujours su que tu es un battant rien ne t'arrête Je vous embrasse Sébastien

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  3. Bravo pour le quart de prise... Ca me fait rêver. Un ou deux trucs : quand le poisson est ferré (le plus difficile) le ma^triser. Ne jamais se laisser en paix. Le poisson fait ce qu'il peut mais le pêcheur doit être à donf dedans. Toujours, toujours, toujours tirer sur la gueule du poisson en gardant de la courbure sur la canne, c'est ça qui le fatigue. Pomper au bord de la crise cardiaque. Se balancer le plus possible en arrière, grâce au harnais la pression est terrible sur le poisson. Les bras ne font pas de travail, ils tiennent la canne quand le poisson vide le moulinet (quel bruit poignant) dès que l'on abaisse la canne pour gagner un minable mètre mouliner à en perdre haleine et tout de suite tension. Surveiller le scion, petit à petit la courbure baisse, c'est le dos qui travaille à moins que le poisson ne redémarre une fois de plus (l'horreur). plus le moulinet est vide moins il reprend de fil. Mais à force, à force, en serrant les dents le poisson se fatigue, il monte, il saute, il sonde, ressaute, ô merveille, et finalement se rapproche. Il faut viser les 40 minutes de combat. Pas le temps de boire un coup (sûr de sûr une seconde de relâche le poisson gagne 1/2 heure) pas le temps de s'éponger le front (j'ai payé pour le savoir). Rien on se donne à fond.
    Finalement l'ennemi arrive au bateau. Dès qu'il est à bord le pêcheur vidé se sent saisi d'une amitié incroyable pour ce combattant valeureux. Si le poisson a su se décrocher (plus le combat dure plus les risques sont grands de le perdre, l'hameçon faisant son trou) le pêcheur l'admire et le remercie pour ce combat à la loyal.
    Veinard. JVE Hubert

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